define('WP_CRON_LOCK_TIMEOUT', 300); Le blog de Myriam Heilbronn » 2009» janvier

Archive pour janvier 2009

Ce soir à Khan Younes,camp de la bande de Gaza jumelé avec Evry

Vendredi 30 janvier 2009

Parce qu’il y a eu deux tirs de roquettes vers Israël, alors qu’il y avait cessez le feu, c’est vrai !!! mais tombés dans un terrain vague et qui n’ont touché personne,  en réponse… Entre autre… des tirs israéliens sur Khan Younes qui ont blessé des enfants sortant de l’école.

Triste décompte à rajouter à une longue lithanie.

Je cite le Parisien d’aujourd’hui !

“deux roquettes ont été tirées mercredi soir et jeudi matin par des combattants palestiniens de la bande de Gaza contre le sud d’Israël, sans faire de victime, selon l’armée israélienne. Ce sont les premières roquettes tirées vers Israël depuis l’entrée en vigueur du cessez-le-feu ayant mis fin à l’offensive israélienne qui a fait plus de 1 330 morts palestiniens et dévasté la bande de Gaza entre le 27 décembre et le 18 janvier.

De l’autre côté l’aviation israélienne a réagi en lançant une attaque nocturne dans la zone des tunnels de contrebande reliant le sud de la bande de Gaza à l’Egypte. Elle a aussi mené un raid à Khan Younès qui a blessé un policier du Hamas circulant à moto et 17 personnes dont 11 écoliers, selon des témoins et des sources médicales.”

C’est vrai qu’avec un pareil bilan il était de bon ton de parler d’équilibre à rechercher pour une paix juste et durable !!! au Proche Orient au Conseil municipal d’Evry de ce soir, ville jumelée avec Khan Younes et de voter une subvention pour Gaza… de 5000 € a l’unanimité…

Mais cette unanimité a un prix : l’engagement d’un jumelage avec une ville israélienne… toujours dans un souci d’équilibre et en rappelant en prime que les manifestations parisiennes pour la paix étaient peu fréquentables parce que fréquentées par des antisémites et autres extrémistes de tous poils. Comme s’il n’y en avait pas à Evry !!!

Navrant ! Pour nos amis palestiniens et pour les militants de l’UJFP de plus en plus nombreux à manifester leur incompréhension et leur révolte au regard de ce qui se passe à Gaza.

Il y a des moments où tout bascule et où la recherche d’équilibre n’a plus de sens, c’est quand l’éveil des consciences devient incontournable ou que le danger d’injustice est trop fort et que la révolte gronde comme à Gaza après trop d’injustice, d’enfermement et de morts et blessés qui ne demandaient qu’à vivre comme nous dans un pays libre.

Ce soir l’étau se resserre pour nos amis de Khan Younes et je suis plus que triste car j’ai des amis là bas et “le temps du sang et de la haine” est revenu.

Ce qui est convenu est convenable…mais parfois gonflant !

Lundi 19 janvier 2009

Je ne sais pas écrire que du convenu, et je n’ai pas non plus l’habitude de demander la permission avant d’écrire sur mon blog. Il y a peut être des codes d’écriture qui m’ont échappé… Pourtant je ne pense pas qu’il soit interdit de s’amuser un peu de mésaventures familiales autour d’un plat de noël… Pourtant !

 Et oui, c’est peut être très mal mais je n’ai pas envie de vous parler que de Gaza même si c’est très grave et très triste… je pense apporter ma contribution et ma pierre à un changement de regard dans ce conflit même si là aussi mon langage et mon mode de réflexion ne sont pas toujours ceux de mon entourage.

Pour moi le meilleur service que l’on puisse rendre aux amis de Gaza c’est de penser à eux, de témoigner mais surtout de continuer à vivre et de ne pas perdre notre capacité de penser aussi à autre chose…

Car savoir sortir du cadre convenu c’est parfois très enrichissant pour garder un peu de lucidité et de recul quand la vie est difficile.

C’est la confrontation des idées et le partage des pensées et des expériences qui permettent d’avancer. 

J’ai eu un weekend bien rempli au regard de cette soirée qui s’annonce plus calme sans les oins oins modérés et l’agitation joyeuse de mes petits enfants et des grands qui les entourent.

Je vous souhaite une bonne soirée pleine de sourires et d’humour.

Quand le gratin de noël est séquestré dans le four à pyrolise

Mercredi 14 janvier 2009

Fausse manoeuvre dans la petite cuisine du chalet ou distraction de dernière minute, je ne sais.

En tout cas, au moment de prendre des nouvelles de mon luxueux gratin bon chic bon genre, sensé gratiner dans un four à 165°”chaleur tournante”pendant 40 minutes programmées … J’ai eu quelques surprises.

Il faut que je vous dise, c’était la première fois que j’essayais cette recette de l’école de cuisine du Ritz… Et oui, ma chère fille n’a pas tout à fait perdu le nord en m’offrant un cours de cuisine “spécial réveillon” cette année pour mon anniversaire (qui soit dit en passant a lieu début septembre)…

Bref, l’entrée étant en train de se terminer, alors que la dinde “contisée !!!” (encore une création façon Ritz !!!) était mise au chaud déjà découpée par Bertrand, lorsque je vais jeter un coup d’oeil à mon fameux gratin de patates douces céleri en train de gratiner…

Car d’après mes calculs… Le temps étant écoulé… il n’y avait plus qu’à ouvrir la porte du four pour l’apporter à table. Rien de plus simple me direz vous avec un super four programmable et programmé…

Et pourtant là, stupeur !. Le four ne s’ouvre pas tout en ayant l’air d’être bien chaud (mais il est muni d’une porte froide…pour la sécurité de nos petits enfants).

Alors je cherche et tourne les boutons… Mais en vain, même en me récitant des formules magiques genre (M… alors ou pour les petits “Sésame ouvre toi” !) et je vois mon gratin à l’intérieur déjà sérieusement bronzé en train de faire des bulles… Pour très vite me rendre à l’évidence. Le four était vérouillé car le programme pyrolise était enclenché et la chaleur intérieure trop élevée, sécurité oblige… Depuis combien de temps ? Mystère…

Alors, branle bas de combat dans la chaumière en toit de tôles comme la plupart des chalets dits modernes… je ne vais pas dire la taulière !!! ça prêterait trop à confusion.

Comment arrêter le cycle infernal de la pyrolise et aussi ouvrir la porte…

Après l’affolement et les émotions verbalisées, chacun y allant de son vocable préféré dans la recherche d’un coupable déjà presque condamné…Il nous a bien fallu…

Retrouver nos esprits et remettre de la méthode avant toute chose au coeur de notre assemblée de QI familiale (si on m’exclue pour ne pas faire tomber la moyenne c’est assez impressionant, mais pas forcément efficace pour autant dans ce genre de situation… comme la suite va le montrer) qui se met à la recherche d’une réponse à la fois intelligente, élaborée,  globale et partagée (nous sommes tous à la fois démocrates et de gauche !) nous permettant d’accéder à notre plat avant  qu’il ne fonde, se transforme en poussière ou explose dans le four.

Mais là, force est de constater que dans un premier temps l’émotion méditéranéenne de la mère de famille que j’assume incarner, a sans doute pollué et prévalu et s’est transmise, de manière houleuse à presque l’ensemble de l’assistance.

Seul, mon gendre s’est retranché derrière son obligation de réserve bienveillante et son flegme légendaire pour ne pas mettre de l’huile sur le feu… Ce qui en l’occurrence est à peine un euphémisme.

Je dois quand même préciser que dans cette tourmente, mon premier réflexe a été de faire couper l’arrivée d’électricité pour nous accorder un temps de réflexion et arrêter l’engrenage infernal… Dans le four !

Quoique pas tout à fait…

Car la porte du four ne s’est pas ouverte pour autant…. pour permettre à la chaleur de bien rester enfermée… avec le gratin, bien sûr !!!

Le premier orage passé, notre Assemblée Constituée s’est  lancée dans la recherche de la notice de la cuisinière dans le paquet de notices bien classé ( il faut tout de même que je le dise) par la mère de famille, encore moi… 

Et là nous avons bien retrouvé…   la notice de l’ancienne cuisinière…qui n’avait pas de pyrolise et était partie aux encombrants il y a plus de deux ans lors de son remplacement par la “pyrolésienne”.

Et pendant ce temps, le four ne s’ouvrait toujours pas, et, l’éclairage interne étant coupé faute de courant, on ne pouvait même pas prendre des nouvelles du gratin, car bien sûr en l’absence de données écrites et sur la base d’un contrat implicite, nous nous interdisions de remettre le courant par crainte de porter la responsabilité d’un nouveau cataclysme.  

Nous avons alors décidé de poursuivre notre repas après quelques tensions… privées…

la dinde était fort belle et bonne et avait échappé au désastre. Ouf pour la validation de mes acquis !!!

En guise d’accompagnement, nous avons partagé le surplus de légumes avec leur appareil (c’est comme cela qu’on cause en cuisine pour parler de la sauce) non gratinés que j’avais gardés  soigneusement pour accompagner les restes le lendemain.

Le tout réchauffé au micro ondes et présenté dans une élégante boite tuperware des années 80 !!!, était parfait ou presque et largement suffisant !

Le lendemain matin, la nuit, même courte portant conseil, et alors que la porte du four restait vérouillée, j’ai retrouvé la notice de la cuisinière soigneusement placée  en évidence par mes soins dans la cuisine, à portée de mains (vu la taille de la cuisine tout y est à portée de mains !). Je l’avais d’ailleurs mise à cet endroit, ça m’est alors revenu !!!  pour que les amis ou famille visiteurs n’aient pas à chercher… En cas de besoin !

Je me suis donc plongée dans sa lecture avant que tout le monde s’éveille… Pensant y trouver la formule magique à l’ouverture du four. Mais non, rien d’autre qu’une phrase laconique…”En cas de fausse manoeuvre, attendre la fin du cycle et le refroissement du four”. Me voilà bien avancée. 

Je n’allais quand même pas remettre mon programme pyrolise en route pour assister sans voix à la décomposition de mon gratin…

Ayant quand même quelques intuitions, je me suis dit “qu’on ne nous disait pas tout” sur cette notice et qu’il y avait peut être dans cet engin une temporisation liée à l’alimentation électrique et pas seulement à la température du four. ( ce qui m’avait d’ailleurs déjà effleuré l’esprit la veille).

J’ai donc soumis le problème aux têtes pensantes familiales autour du petit déjeuner qui suivit et cette théorie fut partagée par l’ensemble de l’Assemblée Reconstituée. Ouf !

Et c’est alors d’un commun accord qu’on a remis le courant… Après l’ouverture des cadeaux… Mais sans remettre le programme pyrolise ou un autre, dans l’espoir que le Père Noël en passant par la cheminée ait pensé à nous

Et là… Pas de miracle. Le sapin brillait, toutes guirlandes dedans, le petit Jésus trônait bien dans la crèche Carbonel sur le buffet, les rois mages y étaient bien en route avec leurs valises de trésors, mais le four insensible à cette joie de Noël pourtant patente ne s’ouvrait toujours pas; Le gratin restait séquestré. Le miracle de Noël n’avait pas lieu.

Seul soulagement, le four ne chauffait plus et en  l’éclairant nous avons vu que le plat, objet de tant de sollicitudes, était dans un état apparemment acceptable.

Puis, nous avons pensé à d’autres choses.  Et ce n’est qu’après plusieurs essais infructueux, repassant par hasard dans la cuisine, que j’ai pu enfin délivrer le plat du four.

Merci l’électronique !

Le repas suivant, nous avons partagé les restes de dinde et goûté au gratin gratiné.

Et bien, vous me croirez si vous voulez mais, à part le fait qu’il était un peu trop bronzé sur le dessus, c’est la seule fois ou  le mélange lait crème a correctement été absorbé par les patates douces et le céleri, donnant à ce plat un moëlleux et une saveur… INOUBLIABLE.

Je vous souhaite une bonne fin de journée.

Toujours Gaza, pourtant j’ai tant d’autres choses à dire autres et plus gaies

Lundi 12 janvier 2009

Mais comment être léger et futile par les temps qui courent quand les amies qu’on a serrées dans ses bras l’an dernier, la larme à l’oeil c’est vrai…car c’était déjà dur pour elles, sont sous les bombes aujourd’hui.

Non ce n’est pas leur faute ni celle de leurs enfants ni celles de leurs maris.

Il faudra encore combien de mortes, combien d’enfants sans plus jamais leurs mères ou leurs mamies, pour qu’on arrête tout ce cirque, toutes ces théories sans queue ni tête.

A la fédé du PS ils en étaient encore mercredi à se lancer dans le concours du juste mot et du juste équilibre, sordide exercice de verbiage.

Peut on parler encore d’équilibre à respecter, de ”juste prix”… à payer après tant d’injustices et de victimes innocentes “payant”pour des fautes non commises ? Ce ne sont pas les mots qui tuent… alors que certains silences ou non dits sont pousse au crime.

comment peut on encore aujourd’hui dire qu’il nous faudra n’aller que dans les”bonnes manifs polies et policées” (rassurez vous d’ailleurs elles le sont toutes !) en brandissant la peur pour nos chastes oreilles d’être prises au piège d’entendre (que précautions tout d’un coup) des mots d’ordre non maîtrisés, non validés. A croire que les militants sont devenus (c’est un scoop) des petits toutous sans langue…

Et je remercie Jean Luc Mélenchon d’avoir déclaré samedi aux médias lors de la manifestation de Paris ce que j’ai répondu à certains amis samedi à Evry… “certes il y a des mots d’ordre qui ne nous plaisent pas mais on n’est pas obligé de les répéter”…

j’ajouterai même qu’on peut les couvrir si on est plus nombreux et les empêcher si on est, nous à gauche tous unis pour faire front en étant de vrais démocrates laïcs et républicains.

A Evry samedi, les slogans un peu communautaristes ont vite été étouffés… à la demande de maghrébins entre eux qui ont échangé et préféré les paroles de l’hymne palestinien à l’invocation de Dieu… Et que ce soit le Député Maire d’Evry, Manuel Valls ou Merroun le recteur de la mosquée, tous deux ont fait une intervention sans équivoque sur le drame qui se joue actuellement à Gaza et au camp de Khan Younes.

Arrêtons tout ce cirque de non ingérence par prudence avec en porte drapeau une “bonne conscience” de bien mauvais aloi comme ce fut le cas en d’autres temps…

En tout cas c’est la connerie et le manque de courage aussi bien que le manque d’empathie par rapport aux plus faibles qui génère la violence et le terrorisme.

Sortons de ce monde binaire…Nous pouvons tous au moins raisonner sur trois paramètres plutôt que sur seulement deux et relisez vite le livre de Régis Debray sur son voyage en Palestine… et celui de Gilles Kramer sur Ramallah…C’est édifiant et pas du tout excité… En plus facile à lire et à comprendre. C’est de l’hier encore frais qui devrait vous éclairer sur les horreurs d’aujourd’hui et vous inviter vite à agir pour que demain soit moins pire de la part des attaquants israéliens.

Que d’horreurs et de terreur à retrouver demain dans les livres d’Histoire.

Alors on arrête de tergiverser et on agit chacun là où on est pour qu’Israël arrête ses combats.

J’ai passé un très bon dimanche avec tous mes cousins côté Bonvicini. Hier nous étions tous des enfants d’immigrés… Une immigration non choisie là aussi qui a marqué et marque encore les 8 cousins tous présents avec leurs conjoints et enfants et petits enfants… Pour ces derniers quelques uns manquaient à l’appel  ! j’aurais tant de choses à vous dire en tant qu’aînée, plus vieille, moins jeune de tous !…tant de choses et pourtant… Ce ne sera pas pour ce soir.

Je vous souhaite une bonne fin de journée.

Manifestation ce jour à Evry pour l’arrêt du massacre à Gaza

Samedi 10 janvier 2009

Plus de 800 morts aujourd’hui dont près de 300 enfants… Combien demain ?Qui peut accepter cela ? Qui peut se taire ?

Je croyais qu’en France on n’avait pas de pétrole mais qu’on avait des idées… Au moins peut on avoir un peu de courage… pour s’engager pour demander l’arrêt des combats par l’armée israélienne et exiger que chacun porte de la voix, y compris les grandes organisations politiques dites de gouvernement !!!

Disons leur que nous sommes tous des électeurs et que ce début de génocide concerne chacun d’entre nous…

Où est passé notre droit d’ingérence Kouchnérien ?

Aujourd’hui ce n’est pas de sacs de riz dont les habitants de Gaza ont besoin c’est de pouvoir sortir de cette atroce prison à ciel ouvert… J’ai vu et entendu l’an dernier… C’était déjà très dur.

Venez nombreux et dignes cet après midi place de l’Agora… et oubliez les soldes pour un court moment… A 15 heures.

Tous les gazaouis ont besoin de nous et de nos voix pour que le pire du pire n’arrive pas.

Je vous souhaite une bonne journée.

Halte au massacre à Gaza

Lundi 5 janvier 2009

Tous les prétextes sont bons et jusqu’à où jusqu’à quand va t on faire payer le prix fort d’une trève pas reconduite par le Hamas à la population palestinienne de Gaza victime d’un blocus depuis plus de deux ans maintenant.

Sur un territoire minuscule, un des plus peuplés au monde, l’Armée israélienne cogne et frappe sans relache par terre, mer et aussi avec son aviation et ses missiles.

Qui peut prétendre que ce n’est pas à l’aveugle quelque part et que dans le monde de la guerre les frappes dites chirurgicales sont un morceau de littérature pour rassurer ceux qui veulent y croire… et pourquoi un tel sentiment d’impunité face à la vie de civils innocents condamnés parce que vivant là, en baffouant le droit international sans que personne ne bouge.

Evry est jumelée avec Khan Younes dans la bande de Gaza et les témoignages qui nous arrivent chaque jour depuis le début de l’Offensive israélienne ne laissent planer aucun doute sur le fait que les gazaouis plongent chaque jour un peu plus dans la terreur et les privations de nourriture et sur le fait que les droits et libertés les plus élémentaires sont baffoués… Même au delà de ceux proclamés dans la Déclaration des droits de l’Homme.

Terrées chez elles, toutes fenêtres ouvertes malgré le froid, pour ne pas que les carreaux explosent, sans chauffage, il n’y a plus de bouteilles de gaz,  sans électricité la plupart du temps, presque sans eau potable, les familles ne peuvent même plus se retrouver pour se tenir les coudes.

Elles ne peuvent que se signaler et compter leurs morts, qu’elles dénomment maintenant tous des martyres, et les blessés, par portable ou par internet.

Les enfants sont terrorisés.

Agissons vite pour faire cesser ce qui bientôt sera notre Honte à tous si nous ne faisons rien.

Invitons les politiques de toutes couleurs et de toutes tendances à dénoncer officiellement ce qui se passe !!!

Dans le cas présent  DIRE c’est déjà AGIR. Je compte sur vous.

Pour plus d’informations consultez le site d’Evry Palestine.

Je vous souhaite une bonne fin d’après midi.

Je reprends ce matin… Où sont toutes mes amies les femmes du camp rencontrées l’an dernier… A Gaza ?

ça y est, les troupes israéliennes sont entrées à Khan Younes… Où sont tous mes amis et leurs enfants ?

Bonne année 2009

Jeudi 1 janvier 2009

En attendant notre lettre familiale, Bonne année 2009.
Qu’elle soit constructive pour chacun, au service d’un Idéal partagé pour plus de justice et d’humanité avec une meilleure répartition des richesses. 

Il y a aussi tant à faire que ce soit sur le plan national ou international en Europe et aujourd’hui plus que jamais pour une paix juste et durable dans un Orient si proche de notre Histoire.

Il est plus que temps que la France et l’Europe pèsent de tout leur poids … Faisons le voeu qu’il ne soit pas trop tard.
Le meilleur pour chacun des lecteurs et lectrices de mon site et à très bientôt