La burqa pour un Hold Up à Athis Mons
Pas vraiment nouveau comme méthode … même si ça semble être une première en France !
Quand je vous disais qu’on a déjà tous les attirails dans la loi pour interdire le port de la Burqa à l’extérieur de chez soi … Et qu’il était urgent de poser des actes. La loi nous permet de sanctionner toute personne déguisée et masquée en dehors des périodes de carnaval !
Alors qu’attend on pour interdire à un jihad, un voile ou une burqa anonyme d’entrer ou de circuler dans un lieu public ? Pas besoin de lanterner pour déjà demander, sous peine de sanctions ou d’interdiction d’accès, que les voiles soient relevés.
Il serait temps d’y penser, non ? Maintenant qu’il s’agit de gros sous “on” va peut être se remuer.
Déjà dans l’Algérie des années 70, de fausses femmes voilées, vrais mecs, faisaient du stop sur la “Moutonnière”à Alger et les hommes qui s’arrêtaient se faisaient agresser et détrousser… et faisaient la une des faits divers d’ “El Moudjahid”.
C’était un grand sujet de rigolades entre femmes et filles, lors des mariages ou baptêmes, pendant que les hommes et petits garçons mangeaient leur méchoui arrosé au fanta, en s’ennuyant “grave” entre eux, à l’air libre, sur la terrasse de la maison.
Nous, pendant ce temps, et après avoir tout préparé, parquées dans une chambre et interdites de sortie tant que les hommes n’avaient pas fini … pour qu’on ne risque pas de nous apercevoir … Nous dansions à tour de rôle et nous racontions des histoires de mecs castrateurs et machistes punis ou piégés par excès de tyranie envers leurs épouses. On se défoulait bien.
On abordait aussi des sujets plus graves, jamais évoqués au grand jour dans l’Algérie de Boumédiène, comme la limitation des naissances, la violence faite aux femmes, les gamines mariées de force à des “vieux”… et la pilule prise en douce…
Et oui, le voile ce n’est pas seulement un signe homogénéisant les différences et la personnalité, c’est le début de la fin identitaire d’une femme, la négation de son essence même et de sa différence, une interdiction de vraiment exister.
Moi, l’étrangère chanceuse, j’étais leur copine, leur confidente, un peu leur espoir et leur conseillère aussi, leur fenêtre sur la vraie vie, mais je pouvais souvent si peu pour les aider à être ou rester elles mêmes et trouver un brin de liberté.
Que sont ces amies devenues ?
Je vous souhaite une bonne journée.